Le projet MACRON

15/03/2023

(Posté le 15/03/2023)


Chère lectrice, cher lecteur,


Demain, alors que le projet de loi concernant la réforme de la retraite, et notamment le report de l'âge légal de départ de deux ans, va être voté, nos politiques continuent d'organiser les dépenses publiques, de fracturer le pays, et surtout de n'apporter aucune solution aux problèmes que nous traversons, et vers lesquels nous nous dirigeons. Notre président applique, depuis sa première élection, le projet MACRON (Mort Arrangée de la Constitution Républicaine et de l'Organisation Nationale), et malheureusement il a un gouvernement collabo à ses ordres, et des oppositions qui lui facilitent la vie. J'emploie sans honte le mot collabo, car c'est la destruction de la France, la mort de notre pays, qui nous menace, et pas mal de personnes semblent y trouver leur compte, tant que ça n'affecte pas leurs patrimoines et leurs statuts sociaux.


Le projet MACRON n'est pas un fantasme, il est bel et bien actif sur notre territoire : son premier objectif est de détourner l'argent public, d'enrichir des groupes privés, de dépouiller le peuple français de ses richesses.

Les premiers signes, engagés sous le quinquennat de François Hollande (qui a montré les limites de la gauche politique dans l'organisation et la structuration de notre société), ont été notamment le démantèlement nucléaire. La recherche de la production d'énergie propre et renouvelable, pour protéger la planète et augmenter son espérance de vie, est assurément une idéologie louable, mais la transition trop brute nous a fait énormément de mal : on a eu, il y a peu, la moitié du parc nucléaire à l'arrêt. C'est la conséquence d'une volonté de notre gouvernement, et principalement des différents ministres qui sont passés au ministère de la transition écologique, de ne pas suffisamment fournir le budget du nucléaire (la recherche, la formation, l'entretien, …). : Frédéric Joliot et le général de Gaulle ont misé sur cette énergie, sur un savoir-faire bien français, pour assurer au pays une rente et une autonomie. Mais les volontés récentes de sortir trop rapidement du nucléaire ont fait du mal à l'économie française. Mais pour être totalement honnête, le déclin du nucléaire français a réellement commencé en 2007, quand le marché du gaz et de l'électricité a été ouvert à la concurrence, pour les consommations des particuliers. On a vu, récemment, que vendre de l'électricité à perte, pour ensuite la racheter plus chère (par manque de production suffisante, pour assurer l'auto-suffisance de la France et respecter les contrats de ventes imposés à EDF) a grandement ruiné la France, lui a fait perdre beaucoup d'argent. Emmanuel Macron tente de se présenter en sauveur pour redresser le parc nucléaire français, mais il a bien agi et collaboré à le mettre à terre. Il faut, bien évidemment, se projeter sur des productions d'énergies renouvelables et non polluantes, mais il faut le faire intelligemment, et au cours d'une transition maîtrisée.

Dans la catégorie de détournement d'argent public, et on ne le répète jamais assez, il y a toutes ces prestations payées au cabinet de conseil McKinsey, qui coûtent des milliards à l'État, et dont personne ne semble vraiment se soucier. Le 18 janvier, le Sénat, au travers de sa commission d'enquête, a pointé du doigt une dépense de 496.8000€ pour « évaluer les évolutions du métier d'enseignant », qui a été une erreur et n'a servi à rien. Le 17 mars, le Sénat, encore, a mis en évidence une mission de 957.000€, auprès de de la Caisse nationale d'assurance-vieillesse, dans le cadre de la réforme des retraites et des APL, alors que le gouvernement conteste cette démarche. Au total, ce sont plus de 2 milliards d'euros dépensés auprès de ce cabinet de conseil américain. Notre gouvernement a ouvertement détourné l'argent du peuple français, au profit d'une société étrangère, et laisse des autorités américaines décider de l'avenir de la France, de ses changements. Il faut impérativement que ça s'arrête, d'une part pour éviter que les États-Unis s'enrichissent en pillant les richesses de la France, et d'autre part pour conserver une autonomie nationale au niveau de l'évolution de nos institutions.

On ne fait pas attention à nos dépenses, et bien évidemment l'immigration clandestine, à laquelle on n'apporte aucune solution nationale, à laquelle on se contente de répondre positivement aux demandes de l'Union Européenne, coûte trop cher à la France. À l'image de l'affaire McKinsey, notre souveraineté et notre organisation est mise entre les mains d'une autorité étrangère, qui défend ses intérêts qui ne sont pas forcément les mêmes que la France. De plus, certains prétendent que notre pays a beaucoup d'argent, que nous sommes riches, mais c'est bien évidemment faux : le nombre de personnes sans domicile fixe a augmenté de 50% en dix ans, selon un rapport publié par la Fondation Abbé-Pierre en 2022. Entre le prix de l'immobilier qui monte, l'inflation qui augmente le coût de la vie, et qu'il y a davantage de travailleurs pauvres (le gouvernement se félicite du chômage qui baisse, mais il ne parle pas de ceux qui gagnent moins de 800€ par mois), la France est en récession. Nous sommes un pays moins riche que dans les années 80, davantage de personnes vivent sous le seuil de pauvreté aujourd'hui : de ce fait, il est plus que nécessaire de bloquer l'immigration illégale (d'où qu'elle vienne, même d'Europe), afin de donner le temps à notre pays de se relever, et de se renforcer. La porte ouverte à l'immigration engendre trop de dépenses : la sécurité et la justice (vol et délits), ou encore les aides automatiques qu'on leur apporte pour vivre (notamment l'ada, l'allocation pour demandeur d'asile, et les logements sociaux pour qu'ils ne dorment pas dans la rue, alors que nous avons des sans domiciles fixes qui aimeraient profiter de ces logements, justement). De plus, les migrants sont moins regardants sur le salaire pour travailler, et donc les tolérer dans le monde du travail en France, c'est tolérer une évolution des salaires vers le bas, et donc davantage de précarité. L'immigration illégale, c'est la ruine de la France, il faut y mettre fin !

La réforme des retraites, à laquelle le peuple français, en majorité, s'oppose, est d'après le gouvernement une nécessité pour financer les pensions. Si c'est vraiment nécessaire, au point qu'il faille aller à l'encontre de la volonté de la majorité des travailleurs (actuels, futurs et ex), il faut bien évidemment maîtriser les dépenses qu'on réalise, et l'état se doit de faire attention au moindre euro dépensé. Cependant, et c'est là qu'on entre dans une dimension dans laquelle Emmanuel Macron semble seul, un plan de 1.4 milliard d'euros est mis en place pour rendre la Seine et la Marne baignables. Annoncé par notre président le 13 mars, à 500 de l'ouverture des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris, cet investissement a pour objectif de rendre une vingtaine de zones baignables en Île-de-France. Donc les français doivent se serrer la ceinture, sacrifier deux années de leur vie pour pouvoir apporter de l'argent à leur société, mais en parallèle on dépense un paquet pour donner une bonne image de notre pays à l'étranger, et donner l'illusion que nous sommes une puissance économique très forte dans le monde ? De plus, c'est bien beau d'injecter tant d'argent dans une action qui, après les Jeux Olympiques, sera rapidement dégradée : il ne fait aucun doute que la Marne et la Seine sera rapidement dégradée, et que les zones baignables ne le resteront pas longtemps. Cette annonce est une insulte au peuple, et aux efforts que le gouvernement lui demande de faire. Avant de chercher à resplendir aux yeux du monde, il faut que notre modèle de société soit une réussite parfaite, et que le « bien vivre en France » concerne la totalité des français, pas seulement une partie.


Mais bon, au sein d'une France dans laquelle le pouvoir législatif est corrompu, où certains de nos députés travaillent à rendre inutile l'Assemblée Nationale, l'exécutif n'est pas le seul responsable du « trop de pouvoirs » qu'il s'accorde.

La NUPES (Nouvelle Union Populaire Écologique et Sociale), menée principalement par LFI (La France Insoumise) est responsable, en grande partie, du déclin de la démocratie en France, notamment par l'affaiblissement du pouvoir législatif. Ils appliquent la politique du « faites ce que nous disons, pas ce que nous faisons », et bordélisent l'Assemblée Nationale, donc le dialogue et le compromis nécessaire pour réfléchir les lois, les voter, et faire progresser la société française. Le problème majeur des députés LFI est que, justement, ce ne sont pas des députés : ce sont des militants à qui n'ont reçu aucune formation, qui n'ont pas été préparés à assumer leur part dans le pouvoir législatif, et aider le pays à renforcer ses lois et se construire. Mais les députés LFI aiment-ils tous la France ? On peut légitimement se poser la question, car du point de vue de plusieurs d'entre eux, le patriotisme est une valeur d'extrême-droite, et donc à rejeter. Si la fierté d'être français, et la défense de sa culture, est quelque chose qu'il faut rejeter, alors que veulent-ils pour nous ? Une position étonnante, mais pas seulement sur ce sujet. Par exemple, on peut s'étonner que la députée écoféministe Sandrine Rousseau puisse promouvoir, sur notre territoire, le port du voile islamique, ce tissu qui est imposé notamment en Iran, et qui est clairement un rabaissement du statut de la femme en société. Ce mouvement politique est perdu dans ses différentes contradictions, et contribue à la fracture du pays : en refusant d'avancer sur des sujets de sociétés importants, comme par exemple la justice, la sécurité, ou encore l'éducation, ils se contentent de faire de la communication, et de réaliser des actions qui vont à l'encontre des intérêts de notre pays (comme par exemple apporter leur aide aux immigrés clandestins et illégaux). Ces députés doivent impérativement apprendre à exercer leur partie du pouvoir législatif, avec intelligence et communication avec les autres partis politiques, faute de quoi la fracture de la société risque de s'aggraver fortement.

On l'a notamment vu sur la réforme des retraites, la NUPES (surtout LFI, pas tous) n'ont pas cessé de provoquer des colères, des scandales au sein (même en dehors) de l'hémicycle, pour que le projet de loi sur la réforme des retraites ne soit pas discuté, et simplement retiré. Si la France a un besoin vital de cette réforme, si la France doit impérativement trouver des milliards d'euros pour assurer son financement dans les années à venir, il est tout simplement scandaleux d'avoir bloqué tout dialogue, tout débat, et de s'être contenté de mobiliser les gens dans la rue. Au passage, les gens qui se mobilisent dans la rue font une croix sur une partie de leur salaire, alors que les députés non. Nous avons plusieurs actions folles menées par ce bord politique :

- des menaces de dépôts d'ordures devant les ministères,

- le « blocus challenge » des lycées et universités,

- des photos insultantes postées sur les réseaux sociaux,

- une communication très travaillées sur les réseaux sociaux, mais un manquement professionnel évident à l'Assemblée Nationale.

Une opposition raisonnable doit dénoncer toutes les défaillances du système, notamment les dépenses inutiles, trouver des sujets sur lesquels faire des économies, et ainsi proposer un plan alternatif. Et à ce niveau, même le RN (Rassemblement National) est défaillant : il se contente de s'opposer, sans proposer lui-même d'alternative. Bon, il faut avouer que le RN, qui vient d'être condamné en appel pour abus de bien sociaux, abus de confiance, recel et blanchiment, à 250.000€ d'amendes dans l'affaires des « kits de campagnes », qui concerne les élections législatives de 2012, à tout intérêt à se faire discret, et ne pas se mettre trop dans la lumière médiatique. Mais ce parti politique, longtemps considéré comme raciste et xénophobe, a bien travaillé pour améliorer son image, se recentrer dans certaines de ses propositions (notamment économiques) pour convaincre l'électorat, mais peine à s'imposer comme une solution crédible. Il se contente de se montrer, d'exister, de faire quelques propositions, mais n'apporte aucune réforme forte, ne se propose de pas de résoudre une injustice inacceptable, pour avoir enfin un poids dominant en politique, devenir le vrai défenseur du pays, et de montrer qu'il veut sincèrement le réformer pour le rendre meilleur. Il se contente de participer au jeu politique, celui qui creuse un fossé entre le peuple et les « élites ».

Le problème majeur, au sein du pouvoir législatif, est que LFI incarne une pensée obsolète, une idéologie des années 80, dans laquelle on se mobilise contre l'extrême-droite, avec qui on n'accepte aucun dialogue. Mais le RN, en 2023, n'est pas le FN des années 80 : il a évolué, il est devenu une alternative possible au pouvoir, et surtout son programme n'est plus totalement d'extrême droite (concernant l'économie, ils sont plutôt de centre-gauche, même). Mais pour l'extrême-gauche que représente LFI, l'idéologie prônée est terrible : si on est nationaliste, si on fait passer l'intérêt de la France avec celui des étrangers, alors on est racistes et xénophobes. La société évolue, mais pas leur pensée qui est rétrograde. Et tant que le dialogue sera refusé, notamment par cette extrême-gauche, tant qu'aucun travail ne sera effectué pour réfléchir tous ensembles à l'amélioration des lois et de l'égalité des citoyens, sur le sol français, alors le pouvoir législatif sera fortement parasité, et sa faiblesse laissera à l'exécutif un pouvoir trop fort.


L'exécutif profite de son pouvoir pour affaiblir et piller la France, le pouvoir législatif est mis à mal par des guerres de partis qui n'ont pas lieu d'être au sein de l'Assemblée, et le pouvoir judiciaire, lui, souffre terriblement de cette disproportion entre les deux. Alors que l'Assemblée Nationale s'enlise dans les rapports de forces entre partis, et ne progresse sur aucun sujet, et qu'à côté le gouvernement est un grand gagnant de l'insécurité, contrôlée, sur son territoire, pour éviter que le peuple se soude, ne fasse qu'un, et s'oppose à ses décisions les plus controversées, les forces de l'ordre et les tribunaux se battent avec les moyens qu'ils peuvent, les armes qu'on leur donne, ce qui est clairement insuffisant.

La société évolue, mais pas notre justice malheureusement. La criminalité évolue constamment, d'après le Ministère de l'Intérieur elle est en hausse de 15% en 2022, par rapport à 2021. De plus, les réseaux sociaux et le développement informatique, utilisés à de mauvaises fins, ont augmenté le rayon d'action des voleurs et délinquants, et rien dans la législation ne semble être suffisant pour les en empêcher : certaines de nos lois ne sont plus adaptées, et surtout les peines encourues ne font pas peur. C'est pour cette raison, principalement, que la délinquance explose, et que les représentants de nos institutions (policiers, professeurs, …) ne sont plus respectés. L'intérêt des français n'est clairement pas que les voyous aient les pleins pouvoirs, que le citoyen honnête et travailleur vive dans la peur de subir une mauvaise action. Il faut protéger les français, et pour ça il y a une première action forte à réaliser : augmenter les peines minimales, alourdir les sanctions envers les récidivistes, et ne pas hésiter à condamner à la perpétuité, sans remise de peine possible, les crimes les plus horribles. Je ne me prononce pas sur la peine de mort, qui est un sujet non pertinent tant qu'on peut améliorer d'autres aspects de notre justice. Mais le pouvoir législatif, qui n'arrive pas à s'exercer pleinement, ne travaille pas à améliorer les lois pour protéger ses citoyens, pour apporter une paix sociale nécessaire au sein de la société : ce qui rejoint l'idée que LFI ne sert en rien l'intérêt des français avec son groupe parlementaire (pour preuve, la proposition de loi pour la réinstauration des peines planchers qui a été proposée, à l'Assemblée Nationale, début mars, qui aurait pu être un premier pas pour d'autres réformes pour améliorer la justice, a été rejetée par LFI et le groupe parlementaire de l'exécutif). Et ce fameux pouvoir exécutif, lui, a besoin de faits divers, d'une insécurité qui va forcément faire parler, pour passer sous silence des dépenses extravagantes. Par exemple la Cour des comptes, relayée par l'association Tous contribuables, a mis en lumière qu'entre 2017 et 2020, le Ministère des Outre-mer, alors dirigé par Annick Girardin, a réalisé des frais de bouche à hauteur de 15.800€ par mois, a délivré des véhicules de fonction injustifiés, et a été négligent dans le contrôle de son budget. Une information qui n'a pas été relayée par l'ensemble des médias, qui n'a pas été pointée du doigt et rapportée à l'ensemble des français, alors que c'est leur argent qui a été volé. Quand les médias sont collabos du pouvoir exécutif, forcément, les français sont bernés, et la société ne peut pas évoluer de manière équitable pour tout le monde.

Cette collaboration des médias, cette instrumentalisation de l'exécutif pour réguler les informations relayées, ainsi que les opinions qui en découlent, s'est notamment vue pendant la crise du COVID. La vaccination, qui divise énormément les français, est un sujet qui est laissé sur la table, pour justement laisser s'exercer cette division, et laisser au gouvernement le pouvoir de faire ce qu'il veut. Et ce gouvernement, dans sa quête de pouvoir absolu, n'hésite pas à tester les limites de ce qu'il peut réaliser. C'est ainsi que le pass sanitaire a été mis en avant, a même été obligé un temps, avant qu'il soit rendu invalide : notre pouvoir exécutif a tenté, ne l'oublions pas, d'imposer une soumission totale de son peuple. Et le pire, c'est que des personnes approuvent cette idée antidémocratique, malheureusement. Mais le COVID n'est pas le seul sujet qui fait l'intérêt de notre exécutif : la religion (ce qui est acceptable ou pas) est également un moyen de diviser le peuple. Tant que plusieurs sujets divisent les gens, tant qu'une majorité, non négligeable, ne se soulève pas d'un seul homme, alors le gouvernement dirige un pays qui n'a pas la force de faire valoir son pouvoir démocratique, et peut aisément dépenser et réformer dans son intérêt personnel.


Pour sauver la France, pour sauver sa démocratie, il faut mettre en place plusieurs choses :

- faire partir notre gouvernement actuel, qui prouve chaque jour qu'il agit contre les intérêts des français, et les traîner en justice pour trahison d'État,

- renvoyer les députés qui ne savent pas travailler, qui sont incompétents pour participer au pouvoir législatif, et qui refusent de travailler avec des personnes qui ne sont pas du même avis qu'eux (quand l'intérêt d'une nation est en jeu, des compris et des solutions doivent être trouvées),

- améliorer notre justice en relevant les peines minimum, en n'hésitant pas à appliquer la perpétuité sans remise de peine dans les pires cas, pour avoir une justice préventive, pour réduire les envies des citoyens d'enfreindre les lois, et pour protéger les français au quotidien,

- accepter de sortir de certains traités européens, de certaines obligations qui font du tort à la France, et de retrouver notre souveraineté sur certains sujets, notamment l'immigration illégale, qui fait un tort considérable à notre pays.

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